Le blog a fait peau neuve, après de longs mois de travail dans le grand secret, j'ai enfin lancé le nouveau design du blog, plus propre, plus claire, plus beau, plus magique, plus bulles de
savons (en toute modestie hein).
Petit rappel de comment était le blog avant :
Quelques petits commentaires à ce propos :
- En ce qui concerne les bulles de gens biens, si jamais j'ai oublié quelqu'un au passage, n'hésitez pas à me le dire (gentiment) dans les commentaire que je puisse vite réparer
cette terrible erreur. J'ai justement fait migrer les "bulles de gens biens" sur des pages pour pouvoir mettre vraiment tout le monde. Il n'y a aucunement de sélection ou quoique ce soit de ce
genre. (par contre si vous venez me demander de mettre un lien vers votre site de vente en ligne alors que vous n'étiez jamais venu avant et que je sais que vous ne reviendrez jamais, je pense
qu'on sait vous et moi que ça risque de ne pas coller entre nous).
- Pour les bulles qui changent quand on passe la souris dessus, j'ai mis énormément de temps à trouver le bon code. Finalement, je me suis armée d'un livre de cours de HTML et j'ai bricolé le
propre "mien". Je vous le donne, car j'ai vraiment enragé en me rendant compte que tous les codes trouvés sur les forums ou les sites spécialisés ne fonctionnaient pas, ou alors n'étaient pas
acceptés par OverBlog...
<imgsrc="ici mettre l'url de votre image par défaut"onMouseOver="this.src='ici
mettre l'url de l'image qui doit apparaître au passage de la souris'"onMouseOut="this.src='ici mettre l'url de votre image par défaut'"/>
Il faut que vos images soient déjà de la bonne taille pour que cela fonctionne bien. (Le rouge est à remplacer par les adresses de vos images).
J'espère que ces petits changements vous plairont ! N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez ou si des choses vous chagrinent !
Vous vous souvenez certainement de mon dernier article sur les BB Brunes, j’avais bien encensé le titre Cul et Chemises en prévoyant un tournant musical prochain qui promettait une belle surprise (lien), mais j’avais aussi craché très fort (lien) : je n’aime pas le plagiat. Et chez
les BB Brunes, l’idée de toujours chercher l’inspiration chez le voisin me semblait maladive. Oublions donc leur kleptomanie musicale, elle est loin. Et comme je ne suis pas rancunière j’ai même
acheté Long Courier, nouvel album de la bande, qui me semble aussi le plus réussi.
(et en version collector en plus... j'suis une diiiiide une diiiiiingue)
Les BB Brunes s’affichaient jadis clope au bec et sur la pochette, criant des dictionnaires de stupéfiants pour se s’assurer de bien être
accepté dans le « drugs, sex and rock’n roll », aujourd’hui le gang est vraiment rebelle. Qu’importe s’il est plus bankable de chanter
in english, pour les BBB, c’est french only, et
qu’importe aussi si les synthés dans le rock c’est hasbeen, chez les Brunes BB on cherche la
beauté.
Loin des niaiseries coquettes (mais qui avaient tout pour séduire les fans pré pubères du groupe) de Nico Teen Love, loin, mais pas si loin quand
même, du rock sal, brutal et pourtant encore maladroit de Blonde Comme Moi, le gang nous a concocté un savant melting pot de tout ce qui fait son génie. Un brin snob à l’heure du second épisode, les BB Brunes ont
cessé de renier leurs maîtres pour mieux s’en inspirer, ont cessé de rejeter les synthés, pour en user tout en subtilité. Dans Long Courier, c’est un
voyage dans l’éclectisme, la qualité et le raffinement que nous offrent les quatre musiciens, tout en restant rock s’il vous plaît.
Tout commence avec Grande Rio, titre électrique qui vole haut, très haut, porté par la voix d’Adrien
Gallo, dont on n’ose imaginer combien elle couvre d’octave, la chanson nous offre une belle envolée de synthés, accompagnée d’une mélopée de cordes savamment maîtrisée.
La suite, Coups et Blessures, titre phare de l’album, renoue avec les thèmes amour-haine chers au gang, dont les paroles révèlent encore toute la
splendeur des accents juvéniles de la voix du chanteur, dont la voix suraigüe et douce apporte ce délice si exquis dont les chansons des BB
Brunes regorgent.
Viens ensuite le titre Bye Bye, où le souffle nicotiné et suave de la voix rock cohabite avec une
mélodie qui distille savamment envolées électroniques et riffs ensorcelants.
Avec Stéréo, on atteint le Nirvana, lorsque le « Mais la nuit, moi jamais, je ne dors » résonne et que la puissance du groupe rejoint
le son des groupe indies pour nous évoquer ses premiers titres excellentissimes aux accents garages.
Un petit goût vintage et on embraie sur Hémophile, chanson plaisante et pop, mais toujours rock tant
dans les paroles que dans sa musique. Un petit travail d’orfèvre pas déplaisant donc.
Ajoutez à cela un Rue de Buci aux rimes subtiles et savantes, malicieuses et exaltantes qui accompagnent un air sublime, électrique, synthétique,
presque aphrodisiaque et ceux qui voudraient dire « aseptisé » se tromperaient car il n’en est rien.
Vient ensuite un Long Courier, à la première écoute presque empreint de la marque Renan Luce,
mais à y regarder de plus près, les paroles, lourdes de sens, viendront nous détromper, car il règne toujours cette électricité statique, constante.
Lala Queen vient confirmer le désir des BB Brunes de ne plus rien regarder de haut. Très
teinté de Prince, le titre déborde de pop branchée et de turpitudes denses / danse…
Aficionado, quant à lui, me semble l’une des chansons les plus réussi de l’album. Alliant la puissance rock et rebelle de ses débuts à la beauté
vocale du 2e opus, le tout marié aux synthés parfaitement dosés, le groupe nous offre un titre d’une qualité époustouflante aux paroles enfin dignes de la mélodie. Je finirai par
saluer la très belle référence à Apollinaire dans RIP, qui à mon avis séduira tous ceux qui
adulaient le premier album. Ce titre, rebelle et presque punk parvient à marier Les Babyshambles et la poésie. C’est là un vrai coup de
génie.
Les BB rockeurs sont devenus grands, enfin un peu plus. Finis les copies conformes, finies les emprunts gênants, les voilà revenus avec un
travail de géants.
Les BB Brunes sont devenus un style à part entière. C’est là toute leur force.
Marlène et Monsieur To,
jumeaux indissociables du crayon, monstres sacrés de la BD numérique et petits nouveaux déjà bien installés dans le monde papier, ont présenté, il y a peu, un nouveau projet ambitieux tout à leur
image. Fantasque, original, explosif, pour ne pas dire révolutionnaire, c'est un concept qui va sans aucun doute dynamiter tous les codes de la BD numérique.
Avec "DynamoBD", les deux pilliers d'Amilova confirment leur statut de
précurseurs et de chefs de file dans ce domaine archi fermé que celui de la bande dessiné. Armés d'une bonne dose novatrice et d'un grain de folie, les voilà à nouveau partis pour une aventure
haute en couleurs...
Le principe : 2 bandes dessinées longues à suivre en turbomédia (lisière entre animé et bande dessinée, frontière entre immobilité et mouvements), une écrite par Monsieur To et dessinée par Marlène, l'autre dessinée par Marlène et écrite par Monsieur To.
Le projet, si ambitieux soit-il, mérite quand même un coup de pouce. Car ce genre de travail de titan risquerait bien de ne pas durer si personne ne prends soin d'encourager ces deux grands
artistes bourrés de talents ! Alors n'hésitez pas à sortir sous la pluie chanter des slogans vaudous pour invoquer le succès MarTosien ou plus simplement à aller laisser de gentils commentaires,
à partager sur les social networks, à distribuer des tracts, à coller des affiches, à faire du porte à
porte.... Bref, n'hésitez pas à soutenir ces deux là, que décidément rien n'arrête !
Avec Noël qui arrive, n'hésitez pas à faire de beaux cadeaux...
Comme Les Hérosdu Quotidien de Marlène
(l'occasion de la soutenir pour l'aider à diffuser sa BD partout dans le monde et favoriser la publication d'un tome II).
Et comme à Noël, on est généreux, n'hésitez pas à en offrir deux, comme le génial Etat des Lieux de Monsieur To par exemple.
J'envoie un bisous magique à tous ceux qui le feront !
Bulles de savon pour tous, et une musique de circonstance pour clore cet article :
Aujourd'hui, c'est "billet dur". Je me suis inspirée du modèle des Inrockuptibles pour leur faire part de mon mécontentement face aux changements qu'ils ont subi... J'espère que ça vous plaira :
Chère Audrey Pulvar,
Ne faisons pas de chichis entre nous, je n’ai pas l’habitude de m’attaquer aux petits nouveaux, mais il va quand même falloir qu’on remette les choses au clair
toi et moi. Tu sais Audrey, à la base, je t’aime bien : tu es une fille, une journaliste et même si je ne partage pas tes convictions politiques, j’adore tes lunettes et ça suffit à
alimenter mes élans féministes.
De fait, même si je sais pertinemment que ce ne sont pas tes talents de journaliste (sans vouloir te vexer, tes éditos, c’est mention « peut mieux
faire ») qui t’ont amené au poste de directrice générale des Inrocks, je ne m’inquiétais pas des répercussions que ton arrivée aurait pu avoir sur le dit journal que je suis de manière
assidue depuis bien longtemps.
Mais visiblement, on t’a très mal briefé. Comme je suis altruiste, je vais te donner des cours de soutien.
Alors, pour commencer, prends le nom de ta revue. « Les Inrockuptibles » tu te souviens ? Dans « Inrockuptibles » il y a
« rock » (oui c’est un jeu de mots, bon point pour toi). Aussi, m’est avis qu’une couverture politique quasiment toutes les semaines, c’est un peu déplacé. Mais surtout, j’en arrive au
plus grave, cela fait des mois que la rubrique musique (à ce propos et arrête-moi si je me trompe, mais dans un magazine rock, la musique, ça ne devrait pas vraiment être une rubrique
non ?) se réduit à moins de 20 pages (et comme je suis gentille et généreuse je compte aussi les pages où il n’y a que des photos). Sur 130, tu
avoueras que c’est quand même un chouia gênant. (Surtout pour un magazine musical).
Certes, certes, vous êtes aussi « incorruptibles » (ça, je crois que tu l’avais compris mais tu pensais certainement que c’était le vrai nom de l’hebdo
et qu’Arnaud Montebourg ne savait pas le prononcer quand il t’a annoncé que tu en prenais la tête) et il faut bien le prouver. Et bien sûr, je le reconnais, de la politique, dans les Inrocks, il
y en a toujours eu. Mais ma chère Audrey, je ne crois pas être la seule à ne pas lire ces fameuses pages et tu seras bien obligée d’admettre que ceux qui comptaient sur Les Inrockuptibles pour
les aiguiller dans leurs choix musicaux (la légende, je te rappelle au cas où personne ne te l’aurait mis sur tes antisèches, dit que les Inrocks, en bons découvreurs de talents, ne se trompent
jamais quand ils encensent ou condamnent de jeunes artistes) doivent se sentir légèrement délaissés.
Personnellement, payer exactement 2,90€ pour lire 20 feuilles de papier glacé (bon, je le concède, je lis aussi la courbe, le « billet dur », le
« quoi encore » et les pages « style ») donc on peut dire 30, ça fait mal, très mal, à l’argent de poche.
Passons. Tant qu’à faire, je vais te donner mes doléances jusqu’au bout.
Tu sais Drey-Drey, depuis que je lis Les Inrockuptibles (si ça se trouve, je le fais depuis plus longtemps que toi, en supposant que tu aies déjà lu un
exemplaire, même si j’imagine que tu as dû au moins lire ta propre interview) j’ai toujours trouvé qu’on n’avait pas les même goûts en livres (Bret Easton Ellis, perso, j’adhère pas du tout) ou
en films (excuse-moi, le Chat Potté, c’était vraiment un navet), mais pour moi, ce n’était pas vraiment si grave, étant donné que les pages « musique » m’apportaient tout ce que
j’attendais (tu sais, c’est un peu le concept de l’offre et de la demande, on t’en a peut-être parlé un jour). En revanche, quand tu changes tout dans mes Inrocks et que tu oses prétendre que
« l’ADN demeure », tu m’excuseras, mais je te mets zéro sur vingt en sciences : le billet dur, c’était marrant quand il était court parce qu’on pouvait le lire à voix haute à
l’intercours, mais maintenant il nous faut toute une journée pour le terminer et c’est beaucoup moins percutant ; les pages « style », maintenant qu’il y en a plein, c’est comme
les cadeaux de noël, si il y en a trop, on peu plus apprécier ; et le « quoi encore », je l’aimais mieux en intro, ça mettait de la joie dans mon cœur quand j’ouvrai mes inrocks.
Maintenant, je tombe directement sur une lettre assassine à telle ou telle personnalité et c’est vraiment moins réjouissant.
Ah oui, autre chose Audrey, mais si tu es une élève assidue, tu auras fini par comprendre (le cas échéant, je te conseille vivement le redoublement) :
« Le changement c’est maintenant » ce n’est pas vraiment un mode d’emploi. En vrai, le changement, tout le monde aime ça, mais seulement si ça ne change pas.
Victoria rêve d’aventure, de bisons dans la plaine, de rodéos et d’immense étendues sauvages, Victoria rêve d’une vie digne de celle des héros de ses romans préférés, bref d’une existence
houleuse et un peu plus palpitante que les jours qu’elle coule à Chaise-sur-le-pont, la « ville la plus tranquille du monde occidental ». Jusqu’au jour où ses rêves semblent rattraper
la réalité et la voilà enfin plongée pour de bon dans les aventures qu’elle espérait. Mais Oscar Wilde disait bien « Quand les dieux veulent nous punir, ils exaucent nos vœux » et
Victoria va vite se rendre compte que ce fameux adage n’est pas si faux qu’il en a l’air, car les choses ne vont pas du tout, mais alors pas du tout se passer comme elle l’entendait.
Dans ce merveilleux roman d’AventureS (avec un grand « A » et un gigantesque « S »), DE FOMBELLE nous en fait voir de toutes les couleurs dans une promenade merveilleuse
dans l’imaginaire de son héroïne. Ses mots dépeignent si sublimement les choses qu’il nous semble frôler le sable du far-west, sentir la pluie vénitienne dégouliner sur notre front…
Une histoire palpitante, qui coule, glisse sous nos yeux grâce aux mots fluides et à leur musique, que l’auteur semble avoir choisi avec un soin tout particulier pour leur sonorité si délicate et
qui suscitera à chaque instant la curiosité quant à la chute, qui s’avèrera douce, émouvante, bouleversante.
Voilà entre nos mains un thriller poignant et stupéfiant, dont toute l’intrigue repose sur la question « Que signifie être humain ». Anax se retrouve enfermée durant 5 heures avec 3
examinateurs qu’elle devra convaincre quant à la maîtrise de son sujet, la vie d’un homme, qui semble-t-il a (va, car il s’agit d’un roman futuriste) bouleversé/er notre histoire et surtout celle
de l’humanité toute entière (oui, rien que ça).
Dans ce sublime dialogue socratique qui mêle avec beaucoup de génie la philosophie et le roman, dans un cocktail subtil et fatal, Bernard BECKETT nous entraîne, captivé jusqu’au dernier souffle,
dans une histoire terrifiante - plus du côté spirituel que physique et c’est bien là toute la force d’un thriller - et débordante de suspens. Durant la lecture de ce splendide et ingénieux roman,
on sera troublé de se poser les questions les plus improbables concernant la vie, la conscience, car BECKETT remettra tous ces acquis en cause, de quoi rendre la chute d’autant plus horrifiante.
Un livre terrible pour faire de beaux cauchemars philosophiques et sans une once de sanglant.
Il est bien difficile d’être le nouveau de la classe et de porter en plus un nom de célébrité. Thomas Lagerfeld a beau répéter que Karl n’a rien à voir avec lui, chacun va de bon train imaginer
un tas de détails plus farfelus les uns que les autres, au grand damne de notre héro timide et réservé qui voudrait bien se consacrer uniquement à sa passion pour les animaux.
Dans cette histoire sympathique, Loo Hui Phang a le mérite d’inventer mille et un rebondissements étonnants et croustillants, parsemés d’humour ; chose qui rattrape largement la banalité du
sujet abordé (avouez que des petits nouveaux timides, on en aura vu, revu et relu). L’idée un peu étrange de mêler la jet-set à tout ça aurait pu être catastrophique, mais Loo Hui Phang mène tout
cela avec beaucoup de brio, pour le bonheur de ses lecteurs, heureux de s’identifier dans la sacrée brochette de personnages que l’auteur nous a concocté.
Une histoire bourrée de bonne humeur pour tous ceux qui aiment lire sans se prendre la tête.
*****
Et comme je déborde de générosité aujourd'hui (et de modestie ça va de soi), je t'offre une deuxième chronique, toute belle toute chaude qui sort du four, à lire sur 7BD cette fois !
Blanche est une fille plutôt normale. Simple, gentille, très timide et parfois elle aimerait bien être un peu moins « blanche » justement… comme son amie Violette par exemple, qu’elle
admire par-dessus tout. Alors qu’elle suit son amie en vacances en Provence, le rêve tourne vite au cauchemar, Blanche sent bien, en effet, que quelque chose ne tourne pas rond, comme si Violette
lui cachait un terrible secret.
Dans ce roman sensible, Agnès DE LASTRADE nous fait le récit d’une héroïne à fleur de peau et ose un personnage bancal et déséquilibré, dont elle laisse le jugement au lecteur seul. Elle signe
alors un récit sans concessions ni tabous, émouvant et poignant jusqu’au dernier mot, qui pousse à une réflexion sur les limites de l’amitié face à l’instabilité de l’autre. Le tout porté par la
plume douce et pleine de chaleur de la géniale Agnès DE LASTRADE.
Un roman sublime et bouleversant à mettre entre les mains de tout ceux qui aiment les histoires réalistes et un peu tristes.
Joie dans mon coeur et bonheur ! Ma tête ne passe plus les portes ! Je suis en interview chez Dixit My Kid ! On parle de champignons, d'agents secrets, de princesses et de
bulles de savon, bref ça sent bon ! Hiiiii !
Antoine réfléchit trop, trop souvent, trop longtemps. Bref, contrairement à la majorité des gens, il PENSE et cela l’incommode énormément. Après une longue réflexion (la dernière), il comprend
que ce qu’il a toujours souhaité et la solution à tous ses problème serait… de devenir stupide.
Aidé par un médicament, il réalise enfin son « rêve ». Il devient alors un golden-boy riche et apprécié (tout le contraire de sa vie d’avant), s’achète une télé et oublie ses livres.
Enfin, tout lui sourit et il est intégré dans la société. Mais c’est sans compter sur son intelligence, qu’il n’a peut être pas totalement oublié…
Dans cette sympathique réflexion sur… la réflexion, Martin PAGE de part une écriture fluide et plaisante mais aussi de part un verbe espiègle parsemé d’humour, nous offre une splendide satyre de
la société, pas si éloignée de la réalité qu’il n’y paraît.
Un livre délicieux et subtil, dont on pourra se délecter… sans modération !